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Cher(e) enlisté(e),
j'ai reçu de nombreux messages de soutien de votre part afin que je poursuive l'envoi de cette niouzelettre et je vous en remercie. "Ils sont gentils, tes petits copains, mais ils auraient mieux fait d'envoyer de la caillasse" grogne Marianne, ma manageuse, en plissant ses yeux de chien de traîneau et en retroussant les babines tandis qu'elle émet un grognement involontaire de mauvais augure..
Par bonheur, ce n'est pas encore la pleine lune et je m'en tire en lui jetant un morceau de foie de veau cru qui traînait par hasard dans ma poche. Ce providentiel morceau me laisse accroire que la soirée d'hier a dû dégénérer ; dommage que je ne m'en souvienne pas (j'espère seulement que c'est bien du veau).
Vous pouvez donc constater que la niouzelettre de la dernière fois n'était donc pas la dernière :
C'était la dernière niouzelettre mu-si-ca-le.
(et non la dernière tout court, banane)
En effet, pour continuer à payer les traites* de Laurence (c'est le nom de ma Ferrari), du loft et les bains au champagne, j'ai dû me diversifier mais ve continue à fanter des fanfons.
(*) plus sérieusement, je suis désormais obligé de passer par un site payant pour envoyer mes neswlettres alors ça me fait moins rigoler.
Du coup, vous aurez bientôt plein de nouvelles niouzelettres sur mes nouvelles aventures d'auteur comique si vous vous : inscrivez ici.
C'est de là que je vous contacterai. Je n'ai pas le droit de vous en dire plus pour l'instant parce que la *lame de fer dentée destinée à couper des matériaux + plante potagère vivace monocotylédone dont les bulbes, à l'odeur et au goût forts, sont souvent employés comme condiment en cuisine + association d'arbustes ou d'arbres généralement plantés et entretenus pour former une clôture* est à mes trousses (c'est un stratagème destiné à tromper leur surveillance informatique).
Mais vous finirez par tout savoir car la vérité et la colère du peuple, c'est comme les sacs des supermarchés, ça finit toujours par éclater. (Je m'entraîne à faire des phrases historiques en ce moment. C'est pas encore tout à fait ça, mais ça vient.)
En attendant, je chante toujours des chansons sur le petit pont de bois (en plastique) que j'ai fait installer dans ma salle de bains au dessus de mon jacuzzi et je fais même des concerts :
la Blanche sera en concert le samedi 10 avril au Chambon Feugerolles (42), capitale de la spécialité jarcutière du même nom.
et le vendredi 16 avril à la Péniche El Alamein dans le 13ème à Paris en compagnie de Thibaut Derien, un de mes rares amis chanteurs que je ne déteste pas.
Sinon, vous pouvez encore télécharger mon disque "Imbécile Heureux", m'inviter dans votre festival ou me confier la gestion de votre patrimoine.
Cordialement,
Eric la Blanche
« A découvrir de toute urgence ! » France Bleu - Evelyne Adam
« A ne pas manquer. » Longueur d’Ondes - Eric Nahon
« Ce duo-là fait des étincelles. » 20minutes
« Un superbe album. » la Gazette du Morvan
« Tout simplement parfait. » Francofans – S. Berribi
« Un album qui bat comme un cœur. A écouter avec attention. » Centre Presse
« C'est précis et net comme une gravure 1900, et à l'intérieur ça hurle comme chez Munch. Musicalement c'est classique et original, peut-être trop. » France Culture - Hélène Hazera
« Un album grave, mélancolique, parfaitement écrit et maîtrisé, décalé, efficace et, au final, bougrement réussi. Il y a du Nick Drake dans ce beau disque. » le Courrier Picard - Philippe Lacoche
« Une étrange et suave subtilité se dégage de cette musique, une touche personnelle aux textes solides et captivants » Lylo
« Des tableaux bien croqués, mis en valeur par les couleurs (arrangements, mix) de son complice Nicolas Deutsch. » Ouest France - Michel Troadec
« Un artiste qui vient de l’école des Ferré, Gainsbourg ou Brel. » Corse Matin - E.B.
« Un album à tiroirs qui n’a de léger que l’apparence. » le Midi Libre
« Cela s'écoute comme on lit des nouvelles de Buzzati, tantôt drôles, tantôt noires ou cruelles. Ou comme on croque un bonbon tendre... avec du poivre à l'intérieur. » La Croix - JY Dana
« Convaincant. » A Nous Paris
« Avec mots et musiques redoutablement bien écrits, La Blanche est, il me semble, une des valeurs sûres d’une chanson bien plus qu’estimable. » Michel Kemper - Nos Enchanteurs
« une orchestration toujours élégante et classieuse, chaleureuse et entêtante, pour ne pas dire enivrante » Froggy’s Delight
« Ici, la poésie sombre, récitée par une voix sans artifice et brute se met au service d’un état d’esprit décalé pas si loin d’un Desproges et touche au but, l’air de rien, donnant tout son sel à ce disque atypique. » New Box magazine
« Éric La Blanche a tricoté un univers auquel le multi-instrumentiste Nicolas Deutsch a donné du relief. Mieux, il a réussi à donner une couleur plus légère aux maux du chanteur abîmé. »
Le Télégramme – S. Guihéneuf
« Des chansons marquantes ou belles et quelques tiraillements entre le sourire et la moue faussement offensée. Immoral mais poliment jubilatoire… » Presto Mensuel - Julien Courbe
« Il publie régulièrement par mail et sur son blog des notes proprement hilarantes sur l’actualité du groupe et les sujets qui lui tiennent à cœur, comme sa (prétendue) liaison avec Chimène Badi » Ventilo
