(...) Peu importe que les Français, en 2007, aient choisi Nicolas Sarkozy démocratiquement, il faut le détruire médiatiquement. On s’en prend au ministre qui porte la réforme (des retraites) en oubliant que notre histoire récente résonne de drames : Salengro, Bérégovoy… Qu’importe la vie humaine, il faut détruire ! Martine et Ségolène sont aux avant-postes. Deux femmes qui ont été « biberonnées » au système Mitterrand. Elles officiaient dans les cabinets à l’époque où les fonds secrets étaient la règle, où le pouvoir a été condamné par la justice pour avoir déclenché des écoutes illégales, où les ministres se logeaient aux frais de la République sans déclarations aux impôts, et j’en passe.
Des mauvaises habitudes qui appartiennent au passé par la volonté de deux hommes : Lionel Jospin et surtout Nicolas Sarkozy (bon, là, je pense que vous avez compris que ce n'est pas moi qui ai écrit ce truc. Devinez qui c'est mais sans regarder en bas) qui installe depuis trois ans la République irréprochable (c'est délire, non ?). Cela n’empêche pas Martine et Ségolène de se draper dans leur nouvelle vertu pour crier à la corruption, au plus grand plaisir de Marine (Le Pen) qui se demande quand va venir l’heure de la récolte. Pourtant, la gauche s’est déjà brûlée en 2002 en allumant le Front national. Au risque de paraître ringard, je le dis : il y a des valeurs et des principes avec lesquels on ne joue pas.
L’alliance d’une opposition rageuse et sans idées, et de certains médias aux relents d’extrême droite (c'est chouette de se vauter dans le texte d'un autre) et de trotskisme mêlés, auxquels s’ajoute la vengeance de riches fraudeurs qui ne pardonnent pas à un ministre de les avoir combattus (hein ? qui ça ?)… Cette alliance immonde (ouaiiis, zyva !) veut mettre à bas les principes qui fondent notre société. J’attendais qu’une voix s’élève contre ce torrent de boue. L’attente est trop longue ! Je le fais, moi, (heureusement : IL se dresse !) en sachant parfaitement qu’une fois de plus le « système » va me prendre pour cible car il n’aime pas les vérités qui dérangent (ha ba ouais, ma bonne dame), et qu’on va me dire en « service commandé ». Je le fais car le déferlement populiste (qui ravage tout comme un tsunami méchant) qui s’abat sur notre pays me donne la nausée. Je le fais parce que je ne peux m’empêcher de penser qu’il reste un peu de dignité au fond du cœur de ceux qui participent au viol collectif (belle image : une tournante... attention, on approche de la fin du texte) de nos principes. Que tout le monde se ressaisisse ! J’accuse parce que j’ai mal à la politique, mal à la démocratie, mal au peuple, mal à la France.
(tu ferais mieux d'avoir mal à la vérité, sinistre ###)
Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP
Et oui, c'était lui. On a les Zola qu'on mérite...